This page is a work in progress about inter-logic. "inter" mean - entre, in between ; "logic" is the formal study of norms and verity. Interlogic is a association of two words that create an interdependance of functionment. The essay composed below is a semiology study of notions : syntagm & paradigm ; connotation & denotation ; representation & interpretation. The project will be probably written in French or translated.

Redacted in 2025 for Université Libre de Bruxelles. References authors for this essay are : Ferdinand de Saussure, Charles Pierce, Roland Barthes, Algirdas Julien Greimas, Propp Vladimir, François Jost, J. Gaspard (teacher).

An introduction to semiology La sémiologie est une étude qui se développe autour de la compréhension structurale du signe. (signifiant/signifié) Des chercheurs modernes vont créer le concept de sémiotique, en décomposant les constructions linguistiques (F. de Saussure, Switzerland), en se questionnant sur les rapports idéologiques (R. Barthes, France), en réfléchissant sur les notions de représentations et interprétations (C. Pierce, America) et de leur rapport à la vérité. Les structures logiques de construction de sémantique tels que le schéma actanciel (A.J. Greimas, Russia), le carré sémiotique, la structure du récit narratif (P. Vladimir, Russia), la sémiotique audio-visuelle (F. Jost, France) seront étudiées dans cette synthèse. Signe : chose, phénomène perceptible ou observable qui indique la probabilité d'existence. Symbole :signe figuratif qui représente une image dont des concepts lui sont attribués. Les signes peuvent être intentionnels/propositionnels ou non-intentionnels/involontaire Les signes peuvent être conventionnels, c'est à dire conforme à des accords consentis, ou non-conventionnels, non compris par ces normes. Certains symboles ont une valeur signifiante pour les êtres humains. Selon la culture, ils peuvent être interprétés différemment. Le signe sémiotique perçu par un esprit peut se définir par : "Un signe est quelque chose de perceptible qui renvoie, selon un interprète, à quelque chose d'autre" (J. Gaspart, Belgium)
La linguistique est un sujet qui a été mis en rapport avec les recherches sur l'interlogique sémiologique, car il s'agit d'un système de communication collectif sémantique et sémiotique. Ce système permet de former des messages en suivant des règles pour être compris d'un locuteur à un interlocuteur. Celui qui produit le message nécessite d'un outil de parole et de la faculté cognitive de langage pour s'exprimer. En déconstruisant les principes de la linguistique pour comprendre sa structure, la forme minimum pour construire un mot est le monème (ou morphème) et est une unité distinctive, celui-ci va se combiner avec d'autres monème pour créer un mot, ensuite des phrases, ensuite des discours, etc. Une unité significative est : tout signe qui résulte d’un choix unique et indivisible. ← intentionnalité, sélection et choix de sémantique (sens) En combinant des unités distinctives et significatives, on va former une sémantique, c'est-à-dire un sens attribué. Tout en respectant les règles de structure de mot (morphologie), la structure de la grammaire syntaxique et lexicale, et les règles d'usage pragmatique liées au contexte. Le signe linguistique est binaire, c'est à dire qu'il se compose d'un signifiant et d'un signifié, la corrélation de ces deux éléments forment le signe. Le signifiant est ce qui perceptible et le signifié est le concept qui lui est attribué. Le signe linguistique est arbitraire, c'est-à-dire que sa signification varie selon le contexte socio-culturel et sa temporalité. Le signe linguistique est linéaire, c'est-à-dire qu'il s'inscrit et se construit dans l'espace-temps. Le référent est l'objet qui est objectivement réel que le signe représente. La logique d'association permet d'assembler des unités pour former du sens, pour construire un message. La constuction de sens : Syntagme et Paradigme Dans une logique d'analyse de système de signes, des mots sélectionnés forment un syntagme, une entité qui rassemble un groupe de mots qui peuvent former alors un paradigme. C'est avec la sélection et l'association que ces unités que une nouvelle sémantique se crée. Le paradigme peut être défini comme un modèle-type, un choix d'unités sélectionnés qui sont en cohérence avec la sémantique auquel il correspond. Le syntagme étant le choix linéaire choisi. Le syntagme et le paradigme peuvent être identifiés dans de nombreux contextes comme la construction d'une sémantique avec des signes combinés qui forment un ensemble et signifient une représentation. La méthode structurale d'analyse peut s'appliquer à de nombreux systèmes comme l'image fixe, le système vestimentaire, les productions audio-visuelles, la linguistique, des systèmes signifiants existants dans notre vie quotidienne, etc. il existe des distinction en matière de contenu tels que le chromatique, graphique, phonique... Ces systèmes peuvent varier synchroniquement et diachroniquement au sein d'une même culture, c'est-à-dire évoluer dans les temps. Roland Barthes relève la différence entre le fonctionnement d'un système de signes linguistiques et celui d'un système culturels : "Dans le langage, rien n'entre dans la langue, qui n'ait été essayé par la parole, mais inversement, aucune parole n'est possible (c'est-à-dire ne répond à sa fonction de communication) si elle n'est prélevée dans le "trésor" de la langue. (Mais pour la plupart) des autres systèmes sémiologiques, la langue est élaborée, non par la "masse parlante", mais par un groupe de décision ; en ce sens, on peut dire que dans la plupart des langues sémiologiques, le signe est véritablement "arbitraire", puisqu'il est fondé d'une façon artificielle par une décision unilatérale ; il s'agit en somme de langages fabriqués, de "logo-techniques" ; l'usager suit ces langages, prélève en eux des messages, mais ne participe pas à leur élaboration ; le groupe de décision qui est à l'origine de ce système et de ses changements peut être plus ou moins étroit ; ce qui peut être une technocratie hautement qualifiée ou ce peut être un groupe plus diffus, plus anonyme. Si cependant ce caractère artificiel n'altère pas la nature institutionnelle de la communication et préserve une certaine dialectique entre le système et l'usage, c'est qu'une part, pour être subi, le "contrat" signifiant n'en est pas mois observé par la masse des usagers (sinon, l'usager est marqué par une certaine asociabilité : il ne peut plus communiquer que son excentricité) et que d’autre part les langues élaborées « par décision » ne sont pas entièrement libres (« arbitraires ») ; elles subissent la détermination de la collectivité, au moins par les voies suivantes : 1) lorsque naissent des besoins nouveaux, consécutifs au développement des sociétés (naissance de nouveaux protocoles d’alimentation rapide dans les sociétés industrielles et urbaines) ; 2) lorsque des impératifs économiques déterminent la disparition ou la promotion de certains matériaux (tissus artificiels) ; 3) lorsque l’idéologie limite l’invention des formes, la soumet à des tabous et réduit en quelque sorte les marges du « normal »." Syntagme : combinaison linéaire des unités Paradigme : représentation des différentes options possibles
Exemple de syntagme et de paradigme : 1) Des unités sélectionnées (syntagme) : je fume une cigarette 2) D'autres modèles/représentations possibles : je fume une cigarette / je crâme une clope / j'inhale du tabac enflammé ___autre exemple : 1) Unités sélectionnées pour un habit : a) porter un t-shirt et un short ; b) porter une chemise et un pantalon taillé 2) Tenue vestimentaire et connotation : a) être décontracté ; b) tenue plus sérieuse
Dénotation et Connotation Dans une analyse sémiologique, la dénotation est ce qui indique explicitement, directement un élément signifant. Cet élément, si il est associé à une sémantique comporte alors une connotation. La connotation est ce qui communique indirectemeent, implicitement le signifié de cet élément dénoté. La relation entre un plan de dénotation et un plan de connotation : étapes d'interprétation (E-R-C) "Tout système de signifiation comporte un plan d'expression et de contenu mis en relation" Le système connoté est un système "méta" (d'un niveau supérieur) ; les signifiants de connotation sont appelés connotateurs sont constitués de signes (signifiants et signifiés réunis) du système dénoté. Plusieurs signes dénotes peuvent se réunir pour former un seul connotateur. Une connotation peut suggérer et déterminer un sens à un élément dénoté, elle ajoute de la sémantique. Les connotateurs peuvent devenir porteurs de signifiés idéologiques suggérés et deviennent des ensemble de valeurs. Le concept de l'idéologie Implicitement signifiée, connotée, l'idéologie nécessite d'une présence fondée sur un propos possible observé d'une réalité en mobilisant des expériences, objets, évènements, situations, etc. N'importe quelle vision du monde implique en retour un rejet de visions alternatives ou contradictoires et cette construction logique fondée sur des valeurs interprétées par des un individu ou un groupe de personnes. La connotation d'une idéologie peut ne pas être comprise ni repérée. Dans cette perspective, l'individu sera contraint de ne pas avoir une compréhension totale du contenu qui lui est proposé. La représentation... Caractère de la représentation : un signe propositionnel lui est attribué et communiqué à un interprète qui est un fait faisant seulement part d'une infime partie de la Réalité représentable. Toute représentation met en relation deux signes élémentaires : Sujet et prédicat . Le sujet va signifier l'objet et le prédicat le caractère de l'objet. Importance de la contiguïté et prédicat polyadique. La représentation comme aspect La trahison des images, exemple tableau de Magritte : représentation et réalité, notion de totalité et indépendance radicale = le signe autonome à son référent. Véracité / Véridicité de la représentation : c'est le signe propositionnel attribué (le prédicat) qui peut être incorrect. Exemple de photographies retouchées, représentation faillible et infidèle de la réalité. Exemple du journal télévisé, ou des informations de presses qui sont communiquées mais n'ont pas été observées par notre oeil, et donc nous devons nous fier aux informations annoncées et procéder à une reconstruction des faits en croyant être le plus proche objectivement possible de la réalité. - La représentation peut être faillible par l'intention de suggérer une certaine perspective non-objective. - L'histoire est basée sur des recherches de faits représentés par des documents d'historiens, des faits qui sont donnés mais ne représente pas dans sa totalité la réalité de l'époque. Importance de la critique historique (distinguer le vrai du faux, du possible et du probable) - Une représentation est vraie si elle démontre d'une certitude absolue dans un futur pragmatique. Et ce, jusqu'à preuve du contraire. - Exemple de John Searle est philosophe et peut possiblement alors rencontrer d'autres philosophes sur le campus de l'Université Exemple des informations contenues dans les encyclopédies que nous considérons comme "vraies" Critères de véracité sont multiples et variés : Degré de fidélité au réel, correspondance à la réalité Exemple du portrait-robot, et de la carte pour trouver son chemin ; est-ce que ces éléments représentant la réalité me permettront de trouver le but que l'interprète poursuit dans un contexte donné ? Caractère partial de la représentation : Des éléments de la représentation qui constituent une construction partielle de la vision de la réalité par la sélection de caractères -Objectif visé : intention de passer un message par la sélection de signes -Vision du monde : caractéristiques et connaissances historiques , relater des évènements, points de vue idéologiques influencés par la croyance, "factuel objectif" et perspectives -Le medium : une peception visuelle ne peut communiquer toutes les données d'une figure réelle Les limites de l'interprétation : tout processus interprétatif consiste, pour un interprète, à déterminer sa propre représentation de l’objet représenté ; toute interprétation est donc une sorte de « traduction » d’une représentation au moyen d’une autre, en tenant nécessairement compte de ce que la première veut bien nous signifier. Il s’ensuit qu’une interprétation résulte d’un travail de « lecture », déterminé et canalisé par la représentation elle-même et le contexte dans lequel elle s’inscrit, de sorte que nous ne sommes pas autorisés à tout interpréter de n’importe quelle manière. Une représentation, à partir de la façon dont elle est construite et le cadre dans lequel elle s’opère, va tout à la fois fournir les fondements de sa propre interprétation et orienter celle-là même. En d’autres termes, il y a des limites à toute interprétation ; un bon interprète est un interprète connaissant ses limites. ... et l'interprétation : présence de l'interprète Les allusions / réferences (obligatoire et aléatoire) Importance de la logique ... work in progress