hi sorry, this page is about my french lessons at uni about journalism, communication & information bachelor 2 at ULB.
linguistic option : polski
option : law, criminology, sociology, juvenil delinquance
COMM-B230 : Théorie de la communication
COMM-B225 : Communication écrite (level 2)
+++ Raisonnements et argumentations +++
Syllogisme : Raisonnement déductif rigoureux qui, ne supposant aucune proposition étrangère sous-entendue, lie des prémisses à une conclusion (ex. « si tout B est A et si tout C est B, alors tout C est A »).
Tautologie : thèse reformulée et utiliser comme argument (vrai par définition)
Pétition de principe : faute logique, raisonnement circulaire, par laquelle on considère comme admis ce qui doit être démontré.
Paralogisme de généralisation : mettre tout dans le même panier
Paralogisme de composition : erreur de raisonnement involontaire qui consiste à attribuer à un tout une propriété qui n'appartient qu'à ses parties.
Argument ad hominem : disqualification de l'émetteur de la thèse
Sophisme : argument faux malgré une apparence de vérité
Raisonnement causal : établir un lien entre une cause et un effet, permettant d'expliquer des phénomènes, nécessite des preuves empiriques pour démontrer un lien direct entre les événements
Raisonnement par analogie : établir une correspondance entre une situation ou un concept connu (source) et une situation nouvelle ou inconnue (cible) afin de comprendre cette dernière
Appel aux chiffres ou aux données concrètes
Procès d'intention
Argument d'autorité
+++ Figures de style :
Prétérition : consiste à annoncer ce qu'on ne va pas dire
Métonymie : remplacement
Synecdoque : (forme de metonymie)
- particularisante
- généralisante
Métaphore =/= comparaison
description illustrée, rapprocher deux réalités par un lien, exercice imaginatif par l'image
Oxymore : Conbinaison de deux elements antagonistes/contraires
Hyperbole : Exagération
Euphémisme : atténuer une réalité difficile
Litote : "on ne veut pas dire le mot"
Périphrase : former une phrase pour er éviter la répétition
+++ Figures de styles syntaxiques :
Enallage : originalité grammaticale, emploi de l'imparfait
Chiasme : figure de croisement de deux groupes de mots
Hypallage : Attribuer un mot à un autre
Asyndète : Juxtaposition de deux phrases sans mot de liaison
Zeugme/Attelage sémantique : Placer sous la dependance d'un mot deux termes qui ne sont pas compatibles
+++ Figures phonétiques :
Assonance (voyelle)
Allitération (consonne)
Homéotéleute (rhyme en prose)
Cacophonie
Calembour
Paranomase (similarité phonétique)
Néologisme
Rappel :
Écarts lexicaux :
- néologisme
- anglicisme (sémantique, lexicaux)
- diatopisme (belgicismes)
- mot altéré
- impropriété lexicale par : paronymie et homonymie
- lexicisme de genre
Syntaxismes :
- syllepse
- anacoluthe
- zeugme grammatical : de genre ou de nombre
- pléonasme
- anantapodoton
- confusion entre discours direct et discours indirect
Les faiblesses de style :
- pléonasme lexicaux
- répétition
- expressions incolores
- termes imprécis
- ambiguïté syntaxique du à la construction de la phrase
- ambiguïtédu référent
- rapprochement douteux
Exercice d'argumentation
Être conforme, c'est trop facile
pour ce cours faut être con-forme
Prendre notes écrites + imprimer le document (ici)
article 1, 2, 3
TRAN-B200 : Critique des sources
(cours du 16/09/25)
Le pathos :
La mobilisation des émotions permettent au discours de construire un affect sur l'auditoire = émotion politique
L'injustice
+ Le contraste entre deux émotions contraires
La peur (souffrance qui provient d'un futur incertain qui va causer du tord)/ L'espoir (attente avec confiance la réalisation de quelque chose)
Dialogue entre espoir et peur pour renforcer, amplifier les émotions qui sont produites par l'orateur pour affecter l'auditoire.
Le sentiment d'indignation - Injustice
Dans le discours complotiste, l'émotion d'injustice est mis en avant par le côté victime et accusations. Dans le judiciaire, la justice et l'injustice on une place importante.
La peur (qui nous menace ?) est une émotion
La source de cette peur, les acteurs ne sont pas identifiables (=identification essentialisée)
La source du mal n'est pas accessible, trop éloigné.
Le passage à l'action est difficile
Appréhension politique au discours complotiste
complot : est un discours qui se conclu sans passage à l'acte politique
Disposition à la non-action : en rhétorique, le fait de ne pas savoir agir
Discours grandes logiques identifiables en arrière plan
Circulation du discours, de l'information
Présence dans l'espace public
Effet persuasif et argumentatif : logos, ethos, et pathos
entymème : raisonnement par la déduction
paradeigma : raisonnement inductif propre au déliberatif, exemple historique
amplification : hyperbole
ethos : caractère, image
traits partagés avec cadre
experts du sujet, orateur capable vs expert en marge (marginalité revendiquée et confiance ! = leur méthodologie marginale)
pathos :
indignation / injustice
peur (émotion non mobilisatrice à un passage à l'action, discours anti-conformiste, psychologie linguistique sans passage à l'acte politique)
espoir
DROI-C201 : Droit pénal général
Prolégomènes
Règles de la répression pénale, textes de loi et marges d'interprétation
Notions de juridictions
Arrêts / Lois
Régulation par l'état de la vie en société :
incrimination, valeurs humaines, susceptible responsable, infraction, peines et mesures, dignité sociale, protection de la société : ordre public, éducation de la population
Peine et infractions :
Infraction : concerne le fait.
Incrimination : concerne la personne.
Incriminer un comportement : Considérer comme coupable.
interdire ou obliger / consacrer droits et libertés : définir un comportement
Citoyens - délinquant, ont des obligations
Principe de légalité : Protections de l'intérêt public
La légalité est inclue dans la loi définie
+ Règle juridique protège les valeurs (partagées) SOCIALES et MORALES :
Les valeurs évoluent -> dépénaliser des comportements ?
+ Le devoir de solidarité entre humains
"Abstention coupable" : non-assistance à personne en danger
Matériel & moral
Le parlement doit préciser : intention VOLONTAIRE ou INVOLONTAIRE
Y at-il eu de la préméditation ?
+ Peines : contravention, délit, crime.
La peine sert à éviter la récidive. Ce sont des formes de sanctions répressives.
Peine : "Faire mal à titre de punition en raison que la loi défend."
Répression : rejet volontaire, empêcher de se développer
Les peines protègent l'état.
Types de peines :
- privation de liberté = emprisonnement. (Les prisons sont en surpopulation. "La prison : écoles du crime" -> réinsertion sociale)
- privation de patrimoine = amende. (Contribue à l'économie de l'état)
- peine de travail, surveillance...
Le comportement fautif est sanctionné par des mesures selon les catégories de délinquances.
Considération des différences, les mesures et approches : Réhabilitation, réinsertion sociale et préservation des valeurs morales.
En 1832 : Le premier pouvoir judiciaire est institué en Belgique. (rappel : 1830 : Indépendance de la Belgique)
Cour d'assise =/= Votes censitaires =/= Cours de cassation
Le premier cas qui fait réfléchir au droit de vie concerne le duel, le combat à mort qui est une privation de la vie. Avec Mathieu Leclair, magistrat à la cour de cassation de Liège
+ Moeurs et lois
Les lois comme les moeurs évoluent avec le temps. (ex : avortement, mariage pour tous, euthanasie,...)
Art.27 : Objectif des peines :
Désapprobation
Restaurer l'équilibre social
Réinsertion sociale
Protection de la société
Prévention ? Disuasion ?
La peine doit être conforme à la dignité humaine.
Proportionnalité et respect du droit des condamnés.
Incarcération et conditions des prisons : conditions sociales et psychiques = éviter la détresse et sentiment mis à l'épreuve d'une intensité excessive.
Il y a des limites fixées par la loi : les peines doivent être proportionnelles à l'infraction et à l'individu.
Si la peine est disproportionnée = cela ne respecte pas les limites fixées par la loi, ni les valeurs humaines dignes = la peine est alors indigue et illégale.
(ex : peine de confiscation, peine pécuniaire, peine de réclusion)
(Emprisonnement à perpetuité = pas contraire à la dignité humaine ?)
(Peine de mort (abolie en 1996 en Belgique) : prononcée pour les faits les plus graves)
"Période de sûreté" : inflexibilité de l'état, période incompressible qui consiste à écarter un individu considéré comme dangereux.
Une peine incompressible = contraire à la dignité humaine = indigne.
La peine doit être utile et doit favoriser la réinsertion.
Afin de favoriser la réhabilitation par une approche humaniste.
+ Objectif de la réhabilitation : empêcher la récidive, remettre le délinquant dans le droit chemin.
Le droit pénal est :
subjectif, personnel, essentiellement sanctionnateur, expressif, protecteur, autonome ou purement sanctionnateur
Subjectif : s'intéresse aux individus, à l'auteur (au parcours de vie de la personne poursuivie)
Personnel : la responsabilité est celle de celui qui commet l'infraction. Il n'existe pas de dérogation de responsabilité.
Sanctionnateur : vise à punir par l'application de peines
Le droit pénal est d'ordre public : on ne peut pas s'en déroger, ni enfreindre la loi pénale. ("exception" : le tueur à gages)
+ Le suicide n'est pas illégal car il s'agit d'une auto-détermination.
L'incitation au suicide est une infraction pénale.
Aider quelqu'un à se tuer : non-assistance à personne en danger = abstention coupable = incrimination.
+ Le cas du consentement
Une victime peut consentir à ce qu'on lui fasse du mal, cependant celui qui fait du mal commet quand même l'incrimination.
+ Non consentement
Atteinte à l'intégrité psychologique (ex :harcèlement), physique (ex:viol), matérielle (ex:violation de domicile)
Protection de l'intégrité psychologique, physique et matérielle.
À propos de l'intégrité physique et du consensus : évolution dans l'art esthétique (piercing, tatouages, bodmod...), sports de combat (coups et blessures, respect de l'autre) ; c'est lorsque qu'il y a une intention de blesser qu'il y a risque d'incrimination.
"Le consentement est inopérant" : il y a infraction
"Le consentement est opérant" : il n'y a pas d'infraction
+ La justification
+ Atténuation de peine
Absolutoire : la victime est libre et éclairée, il n'y a pas d'atteinte à la santé.
Le droit pénal est exceptionnel : strict. Règle absolue est la liberté.
Une infraction est une entrave à la règle.
La règle définit la loi qui définit le droit. Si il n'y a pas de loi existante pour un cas alors comment incriminer un comportement qui n'est pas dans les règles ?
(ex : atteinte à la pudeur en 1843, pas de témoin ni de violence -> pas d'incrimination -> acquitté.)
Le droit pénal est légaliste : principe de légalité législative
règles et normes : généralité, exigence, abstraction
Il y a des poursuite de l'arsenal juridique par la constitution
Par la loi et en vertu de la loi
La juridiction est écrite.
La loi est votée par le parlement et permet de limiter le pouvoir du juge.
Le principe de légalité protège les citoyens contre l'arbitraire, car il définit les limites de l'action des autorités et assure que ces actions respectent un cadre juridique établi.
La loi doit être prévisible, accessible et précise.
+ Temporalité : loi antérieure au comportement (ex : un acte commis avant que la loi incrimine ce comportement)
La loi fait le travail de comparer plusieurs textes légaux, normes complexes
Importance de la définition des notions floues
La loi est interprétative.
Il existe une AUTONOMIE au principe purement sanctionnateur.
Le code pénal : livre 1 et 2
Application du code pénal dans le tempset l'espace
Principe d'ubiquité (extension du principe de territorialité, stipulant qu'une infraction est réputée commise sur le territoire d'un État dès lors qu'un de ses éléments constitutifs (action, omission ou résultat) a lieu sur ce territoire.)
CRIM-203 : Délinquances juvéniles
LES AFFRONTEMENTS ENTRE BANDES: VIRILITÉ, HONNEUR ET RÉPUTATION (2009)
Mots-clés : Bandes – Honneur – Réputation – Affrontements – Collectifs.
Guerres vicinales, conflictualité, urbaine, inscrite dans la vie locale
Intense quête de reconnaissance
Affrontements entre groupes juvéniles de différents quartiers
inquiètent l’opinion et les politiques, mise en place d’un « fichier des bandes »
Témoignent du dynamisme et de la détermination des engagements juvéniles dans ces violences en groupe.
significations et finalités
violence utilitaire et acquisitive
+ La mise « sous pression » d’individusou d’institutions dans le but de jouir d’un pouvoir sur un espace donné, relève d’un autre processus, nous les appelons violences hégémoniques.
+ Les violences émeutières s’inscrivent quant à elles, dans une dynamique de révolte, une logique protestataire et réactive.
+ violences tournées contre des groupes, perçus comme dominants et hostiles et définis par leur altérité sociale, religieuse et/ou ethnoraciale
+ violences qui s’inscrivent dans les logiques d’honneur et de reconnaissance, ce que nous appelons les embrouilles de cité : nous faisons référence aux menaces, intimidations et au échanges de violence, alimentant une conflictualité permanente entre individus et groupes de jeunes, affiliés à différents réseaux et territoires de sociabilité.
+ violences urbaines désigne des conduites variées, dont le degré de gravité est indexé aux menaces qu’elles font peser sur les institutions publiques. (ex : rixe : Querelle violente accompagnée de coups, dans un lieu public)
notion de « territoire »
rivalités honorifiques et rivalités économiques du aux contraintes sociales, politiques et géographiques.
Depuis la révolution des Trente Glorieuses, il y a une transformation des registres de délinquance juvéniles largement dominé par l'appropriation illégale de biens matériels par la crise du à la croissance des classes populaires , la pauvreté, la précarisation du salariat jusqu'en 1980-1990 où la désindustrialisation de la société a touché les populations immigrées, et ouvriers moins qualifiés. C'est dans ces nouvelles figures que les compétitions honorifiques se sont développées.
Les laissés-pour-compte de l'école et du salariat fournissent l'essentiel des effectifs de ces conflits de bandes.
Ces affrontements sont enracinés dans l'histoire et le fonctionnement des territoires. Les jeunes sont porteurs d'une mémoire collective partagée, transmise et régulièrement actualisée.
Implique la "communauté locale", sociabilités publiques
Les conflits sont liés au développement de la société et à la gentrification debla ville, du territoire dans lequel ils ont lieu.
1997 : "La casquette volée"
Conflits graves (coups de couteau, et de feu) dans les écoles en France
1999 : Association locale et collectif de parents s'engagent pour une association commune contre les violences
ZUS : Zone Urbaine Sensible des Hautes-Noues (LHN)
BLB : cité du Bois l'abbé
DCRG : 1991 : Direction Centrale des Renseignements Généraux
DCSP : 1999 : Direction Centrale de la Sécurité Publique
SAIVU : 2002 : Système d’analyse informatique des violences urbaines
INVU : 2005 : Indicateur National des Violences Urbaines
Autonomie hors du système de régularisations pénales des "embrouilles"
rendent visible la persistance d’une conflictualité vicinale et vindicative
s’appuyant sur des valeurs telles que l’honneur, la réputation et la virilité. Ces valeurs dominantes par le passé, avaient des fonctions communautaires de régulation, elles sont aujourd’hui illégitimes et jugées anachroniques.
Réponse de l'état : contrôles localisés
Peu de plaintes car les belligérants règlent leurs comptes eux-mêmes, les plaintes sont en cas de débordement de troubles publics ou blessures occasionnées
perçues comme un phénomène diffus et périphérique
Conduites qui dépendent grandement de la conjoncture : situation qui résulte d'une rencontre de circonstances
Alliances et rivalités de quartiers
Effectifs de bandes qui autorisent la gestion de plusieurs fronts en même temps : rapport de domination
Volonté de redéfinir les équilibres locaux
Accalmie (=pause dans un conflit) poncutelle
Questionner la territorialisation des affrontements et des délinquances : Pourquoi y a-t-il des endroits et des périodes plus mouvementées que d'autres ?
Ruptures en matière de transgression (registres des délits, nombres d'engagés, niveau de gravité et de fréquence) intelligible qu'à travers une analyse contextualisée
1. "Histori-cité" : la rue dérégulée
Mutations importantes dans la sphère des sociabilités juvéniles et dans l'évolution des délinquances entre 1994 et 1999. Ces mutations ont reconfiguré les cadres normatifs des espaces informels de la rue.
+ La « casquette volée » est un événement significatif dont la symbolique n’est pas négligeable. L’action d’humilier par la dépossession, est une atteinte claire et consciente à l’honneur de la victime, mais aussi à ses pairs, lorsque son lieu de résidence est bien connu des agresseurs.
Rupture des modes de régulation intergénérationnelle des comportements juvéniles dans la
cité
Trafic de guedro, balance qui poucave la mif de l'autre = crée des tensions = conflits
Groupes qui se créent autour de ce conflit
Famille = dimension racialle et identité = clans
Conflits qui se déclenchent dans la rue pour "pourrir" l'ambiance ; fais fuir les "non alignés" (= individus externes au conflits mais liés aux relations) et présence significative féminine
Arrestations qui libère l'espace du marché des stups -> Autres jeunes qui assurent le trafic
Pression, clivage local
Affaire judiciaire de viol collectif en 1997 et 12 incarcérations = dérégulation accentuée
2. Paupérisation et mouvements démographiques
...
Drari : personne du quartier qui a un certain type de langage et comportement
rapport aux valeurs
"les enfants" ou potes, solidarité, fraternité, être quelqu'un, le sang, un bon ami
Mot péjoratif ? délinquance, qui fait des actes de jeunes, un gars du quartier, vie dans la rue, les bandes urbaines
solidarité, sincérité
quelqu'un qui veut s'assumer tout seul
Ce mot peut indiquer une personne seule ou une bande
Mélange culturel
Style et apparence, mauvais garçon
Business
LANG-B200 : Anglais
COMM-B220 : Enjeux numériques de la communication
ECON-D209 : Economie politique
DROI-B1005 : Droit
GEST-S445 : Marketing Management
VOCABULARY :
modalité : précautions
conjoncture : Situation qui résulte d'une rencontre de circonstances
vicinal : désigne ce qui est proche, de voisinage ou qui relie des villages entre eux.
Atavisme : Hérédité des caractères physiques ou psychologiques.
Proactif : Qui anticipe les attentes, prend l'initiative de l'action.
Essor : Mouvement par lequel une entreprise, une activité, etc., se développent rapidement
Épithète : Qualification (louangeuse ou injurieuse) donnée à un nom commun
« une grande maison », « grande » est épithète de « maison »
Attribut : L'attribut du sujet sert à identifier le sujet ou à préciser l'une de ses caractéristiques.
Le terme "pragmatique" dérive du grec ancien pragmatikos (πραγματικός), signifiant "relatif à l'action" ou "pratique"
Pragmatique linguistique (=La pragmatique est une branche de la linguistique qui porte sur le sens véhiculé par le langage en contexte. ), (=Qui est adapté à l'action concrète, qui concerne la pratique.), (=adapté à la fonction, liée au contexte, règlementée et analysée),
Prolixe (=Qui est trop long, qui a tendance à délayer dans ses écrits ou ses discours.)
Laconisme (=Manière de s'exprimer en peu de mots.)
Paralogisme (=Faux raisonnement fait de bonne foi. antonyme : sophisme)
Sophisme (= Argument fallacieux destiné à tromper)
Éthique (= Réflexion sur les valeurs qui orientent et motivent nos actions, qui intègre des critères moraux dans son fonctionnement)
Cohérence (=Logique interne d'un discours, rapport étroit d'idées qui s'accordent entre elles, absence de contradictions)
Conviction (=Certitude fondée sur des preuves évidentes)
Genre (=terme général qui regroupe les espèces)
Connivence (=entente, accord tacite partagé)
Tacite (=Non exprimé, sous-entendu entre plusieurs personnes)
Contingence (=caractère de ce qui est variable, qui dépend de son contexte et autres facteurs)
Contingent : qui peut se produire, ou non
Corroborer (un témoignage) : Appuyer, renforcer, confirmer une opinion, une hypothèse
Monolithisme (=Interprétation où l'idée de progrès est remise en question par ces nuances)
Périodisation (=segmentation en tranche de la ligne du temps de l'histoire et des évènements marquants selon la culture la période dans laquelle le concept est étudié, moments symboliques et pertinents (varie selon chaque culture et périodes)
Constitution = Action de rendre légal par un ensemble de textes juridiques qui définit les institutions de l'État et organise leurs relations
Iconotexte = doument composé de textes et d'images (manga, bandes dessinées)
Subversive (=Qui renverse ou menace l'ordre établi, les valeurs reçues.)
Répression = rejet volontaire. Du latin, "refouler, réprimer, contenir". Action de réprimer un acte prohibé ou jugé néfaste à une époque et dans une société données ; ensemble des mesures prises à cette fin.
Réprimer = Empêchement d'un sentiment de se développer, de s'exprimer, de se manifester.
Endoctrinement (=Faire partager à quelqu'un ses opinions, lui faire adopter telle doctrine, telle attitude en lui imposant des règles de pensée, de conduite)
Totalitarisme = régime et système politique dans lequel existe un parti unique, n'admettant aucune opposition organisée
Autocratie = Forme de gouvernement où le souverain exerce lui-même une autorité sans limites.
Souveraineté = Autorité suprême d'un pouvoir (une nation, un dirigeant, un peuple)
Dictature = Concentration de tous les pouvoirs entre les mains d'un individu, d'une assemblée, d'un parti, d'une classe. (Magistrature antique romaine)
Typologie : Science de l'élaboration des types, facilitant l'analyse d'une réalité complexe et la classification. Système de types.
Ermite : religieux vivant seul à l'écart du monde
Moine : religieux vivant en communauté à l'écart du monde, sous un ordre
Révolution :
Jusqu’aux révolutions anglaises, le mot de révolution avait un sens astronomique, désignant le mouvement orbital des astres.
Sens de bouleversement, de rupture.
- Syndicalisme : Action professionnelle, mouvement en vue de regrouper les travailleurs du même domaine (clandestine à l'origine) pour améliorer les conditions de travail, et fonder un ordre social plus juste. Justice collective.
- Grève : comme moyen de manifestation et contestation : cessation collective concertée du travail, dans un but de révoquer des droits.
Revendications : salariales, temps de travail, disciplines du travail.
- Socialisme : Egalité sociale par la réflexion de la révolution industrielle. Révolute morale des conséquences de la vie capitaliste.
- Public : Ensemble d'individus qui partagent un même sens d'adhésion.
- Natio : Naissance ; ensemble d'individus nés en même temps ou en un même milieu.
- Nationalisme : Citoyenneté du territoire, association, assimiliation validée, représentée et traduite par les membres et l'idée unitaire de cette communauté.
Identité d'un peuple. (Adhésion des citoyen, rassemblement volontaire, idéologie partagée, principes économiques)
Erudit : Savoir approfondi fondé sur l'étude des sources historiques, des documents, des textes.
Anamorphose : Œuvre, ou partie d'œuvre, graphique ou picturale, dont les formes sont distordues de telle manière qu'elle ne reprenne sa configuration véritable qu'en étant regardée soit, directement, sous un angle particulier.
Prétérition: Figure par laquelle on attire l'attention sur une chose en déclarant n'en pas parler.
Plébisciter : voter, élire
Cosmique : relatif à l'univers
Ineffable : Qui ne peut être exprimé par des paroles. Inexprimable
Reésilience : Capacité de surmonter les chocs traumatiques
endogène : qui prend naissance de l'intérieur
autochtone : souche
allochtone : extérieur
nanti : une personne qui ne manque de rien, qui reçoit les gages, des droites, un héritage. qui détient une possession.
La conscience collective est une notion de sociologie et de psychologie qui se rapporte aux croyances, comportements et objets mentaux partagés par les membres d'une collectivité. La conscience collective fonctionne comme une force séparée par rapport à la conscience individuelle, qu'elle domine généralement.
La motivation est, au sein d'un organisme vivant, la composante ou le processus pour l'engagement dans une activité précise déterminant le déclenchement, la direction, l'intensité et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption. Se distingue du dynamisme, de l'énergie ou du fait d'être actif.
clivage : Séparation, différenciation, fractionnement des groupes sociaux, des partis politiques, des idées, etc.
contiguïté : état de deux choses qui se joignent
polyadique : qui considère plusieurs éléments, lieux, arguments, caractéristiques.
diachronique : l'évolution des faits, d'une situation, d'un territoire, d'une culture ou d'une population à travers le temps
anachronisme : confusion des temps
synchronisme : Qui concerne ou étudie des phénomènes, des évènements qui ont lieu en même temps.
Le terme « jacent », d'origine latine (du participe présent de jacere, « être couché »), est un adjectif vieilli du droit qui qualifie des biens ou une succession n'ayant pas de propriétaire connu ou réclamé